Notre dernier article avait ému nos
lecteurs, au sujet des difficultés
du groupe 4 et nous avons reçu beaucoup de messages de soutien.
Ce samedi je
suis retourné voir la situation et j’ai retrouvé le capitaine du
groupe 4.
Pierre-Yves,
pour la
gazette, quoi de neuf ?
Tout continue d’aller bien vite. Tout à
l’heure le président
m’a averti qu’il souhaitait rouler avec moi et j’ai bien cru que
la messe était
dite. Je me doutais de ce qu’il avait à me dire.
Alors,
dites-nous, que
s’est-il passé ?
A vrai dire, un extraordinaire mouvement
de solidarité. Je
pense que tous les cyclos présents ont compris ce qui allait se
passer. Ils ont
mesuré l’enjeu et le risque. Tous ont joué le jeu, tout le monde
voulait rouler
avec moi. Même Robert qui avait eu la délicatesse d’organiser un
circuit
gigantesque, de telle sorte qu’il s’est retrouvé seul et que
finalement il
s’est joint à nous. Cela fait chaud au cœur, toute cette
solidarité. Au final nous
étions 12 au départ du groupe 4.
12,
c’est du jamais
vu pour le groupe 4 ! Pas facile à gérer.
En effet, nous avons rarement dépassé 10
cyclos. On sent
bien qu’un vent nouveau souffle sur le pays. Nous sommes partis
avec une parité
parfaite : Aline, Gislaine,
Isabelle,
Monika, Suzanne, Valérie, Bernard, Claude, Daniel, Jacques,
Robert et
moi. N’empêche que ce n’est pas évident de piloter un groupe
aussi gros.
Et
le président, que vous
a-t-il dit ?
En fait rien. Il a du constater que le
groupe 4 n’était pas
encore mort. Et il ne m’a rien dit. Même qu’à Lozanne il nous a
quittés pour
raccompagner Monika qui souhaitait faire demi-tour. A partir de
là on a
poursuivi à 10. Après un bref casse-croute à Alix, Robert,
Suzanne, Aline et
Daniel ont rallongé le circuit en allant vers Theizé. Puis ce
sont Gislaine et
Valérie, emportées par leur élan, qui ont pris l’initiative de
rater un
embranchement et de rallonger le circuit en passant par
Lachassagne. Donc, pour
résumer, nous avons essaimé en de petits groupes qui ont
poursuivi
indépendamment les uns des autres.
Si
j’osais une
comparaison c’est le contraire du Cid. Eux, ils partirent 500
et ils finirent à
3000. Là c’est l’inverse.
Oui en effet, merci pour la comparaison.
Mais pour ce qui me
concerne, l’essentiel c’est que le président a pu voir un groupe
4 partir à 12.
Ensuite il n’était plus là quand le groupe s’est fractionné.
Eh
bien Pierre-Yves,
je pense que nos lecteurs seront heureux de constater que le
groupe 4 renait de
ses cendres et qu’il peut encore attirer des cyclos. Merci,
bonne route et à bientôt.
3 commentaires:
Bonjour
Tu peux compter sur moi samedi et j'essayerai de suivre le groupe quelque soit le parcours
bises
Isabelle
Bonjour,
Je serai des vôtres. Un petit tour en Beaujolais me dirait bien.
Bises
Monika
Coucou moi je suis comme Monika un petit tour dans le Beaujolais me convient bien.
Bises. A tout à l'heure.
Gislaine
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